Un petit apparté-coup de gueule. Ca faisait longtemps!! J'ai déjà parlé des aberrations vivantes (hélas) présentes  sur fb, ayant l'outrecuidance de se faire passer pour des dominas, utilisant à cet effet selfies, visage caché ou flouté, photos de pieds, et autres artifices permettant de pallier leur incurie dans le domiane bdsm. Or, de me rendre compte (bien que m'en doutant bien sur), que face à celà, les soumis dans leur écrasante majorité ne sont in fine que des lêche-cul. 
Comment peut-on à la fois liker une maitresse postant des photos d'elle-même visage découvert, donc assumant ce qu'elle est, postant des photos de son donjon, de ses pratiques, et EN MEME TEMPS, liker le fait qu'avoir un donjon est abject, que les vêtements bdsm sont laids, et j'en passe!!!!! Si un soumis est logique et honnète, il ne peut évidemment pas adhérer aux deux discours, or..... si!!!! Les mêmes, toute honte bue, "like", et même commentent!!!!

Après, ils vont se plaindre de ceci, de celà, etc....
Mais COMMENT une domina peut-elle prendre au sérieux ceux qui ont un double discours finalement juste hypocrite???

Si vous ne savez pas faire la part des choses,  trier les vraies des fausses, deux solutions: ne rien "liker", ou prendre le temps de réfléchir avant d'éventuellement "liker" ce qui a priori vous correspond réellement. Car à faire ce double jeu, l'issue est simple: vous êtes discrédité, puis viré. 

Hé oui, certaines dominas ont un cerveau, et s'en servent, alors à vous si celà est possible de faire de même.

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L'idée me trottait dans la tête depuis déjà pas mal de temps.
Proposer de stages, sur un week end, en extérieur, afin de changer des séances dans mon donjon.

Pour ce faire, il y avait plusieurs points importants à résoudre, le but étant de faire des stages de qualité. Certains pseudos dominas proposent, toute honte bue, des séances extérieures (obligatoires au demeurant vu qu'elles ne disposent pas d'endroit dédié). Cages d'escaliers, parcs publics, caves de hlm, voiture, le tout à l'arrache bien sur!!

Je leur laisse ces propositions navrantes, et revenons à notre affaire.
Je voulais un endroit disposant de nombreuses prisons, niches, cachots, pour le côté enfermement,  qui soit aussi élégant, discret, bien situé, et pouvant être utilisé pour des activités extérieures.
Je trouvais enfin l'endroit idéal.

Sur 48 heures, voici succinctement ce qui peut être proposé: mise au cachot, punitions, exhibition, challenge, travaux, services etc...

Les soumis sont emmenés depuis Paris, sans savoir quelle est la destination. Mise en tenue, fouille, attribution des cachots, certains étant moins pires que d'autres, et... chut, suspens.

Pour que ce week end soit réalisable dans les meilleures conditions, il faut la présence de 2 ou 3 maitresses, réelles et expérimentées, et d'un dominateur pour ceux qui sont intéressés. 

Chaque stage peut se faire avec 3 à 6 soumis, selon les recherches des intéressés.

Les soumis doivent être motivés car 48 heures, c'est long;.... et résistants vu les conditions "à la dure".
Bien sur, il faut que le temps soit doux, les prisons n'étant pas chauffées, et afin de profiter pour faire des activités extérieures.

J'ai volontairement choisi un style haut de gamme, genre OWK, afin de redorer le blason du bdsm, qui en a bien besoin hélas actuellement!! Transportés, nourris (hum..), logés (re-hum), activités personnalisées, voici résumé le but.
Bien sur, uniquement sur réservation préalable, suivie d'un petit entretien avec moi même, afin de préciser les recherches de chacun.

Les quelques photos illustrent seulement en partie les lieux, gardons un peu de mystère!!!

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Celà faisait un moment que mon soumis Bernard me demandait une humiliation qui aurait lieu en extérieur. Je devais réfléchir à plusieurs points, endroit, pratiques, scenario... Il était important pour moi que l'ensemble soit coordonné, afin de potentialiser l'effet, et de ne pas juste faire dans le ridicule ou banal, comme le font la plupart des pseudos dominas apparues depuis un moment ...Mettre le soumis à genoux dans la rue, embrasser les chaussures, trop simple, je voulais une vraie situation, paraissant réelle et crédible, d'où mon besoin de réfléchir;;

Après concertation avec mon soumis, l'occasion idéale se présentait...

Un lundi, il m'accompagnait afin de m'offrir une chose qu'il m'avait proposée, et mon soumis Didier était aussi présent..Ce dernier n'étant pas au courant de ce qui allait se passer, c'était un plus selon moi.

Nous partions donc ensembles direction Neuilly (sur Seine bien sur....), et après la sus-dite chose offerte, nous nous installions à la terrasse d'un bar fréquenté, d'autant qu'il faisait chaud !! Il était alors environ 17h30, pleine journée donc. Je commandais pour moi un verre d'eau très fraiche, et une coupe de champagne.
Bernard commencait à me complimenter, respectueux comme  à son habitude.
Puis, petit à petit, il devenait insistant, lourd....

De mon côté, je lui répondais de plus en plus vertement, le repoussant à plusieurs reprises. Didier observait la scène d'un oeil curieux, se demandant un peu ce qu'il en était du changement de comportement de Bernard;..

La mayonnaise montait ainsi , et à un moment je m'énervais sur l'insistance de Bernard, lui demandant le pourquoi du comment; Là, il me disait avoir les boules, qu'il n'en pouvait plus, et qu 'il voulait une récompense, en rapport avec le cadeau qu'il venait de m'offrir.
Le ton était monté, les tables alentours avaient dû entendre ...
Outrée de son ton, de ses mots, de sa demande, je lui disais de retirer ses lunettes afin qu'il me voit mieux et de plus près. Ne comprenant pas, il ne s'exécutait pas illico, aussi ce fut moi qui otais les lunettes, commencant à lui dire ce que je pensais de sa crise;

La chaleur ne te réussit pas Bernard, je vais te rafraichir..
Je joignais le geste à la parole en lui envoyant mon verre  d'eau à travers la figure.

Quant à "vouloir" une récompense, en voici une: je lui donnais une bonne paire de gifles, tout en continuant à lui dire le fond de ma pensée, puis je tournais les talons et partais, les plantant là...

Il est certain que les personnes en terrasse ont dû croire à une réelle altercation, et qu'un froid a été jeté!!

Mais je suis très contente d'avoir pris le temps de choisir LE moment idéal, car le résultat fut selon moi à la fois bien senti tout en restant classe...

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